Cette sixième édition de l’enquête remplacé par celui de « pénurie ». Les a été réalisée dans un contexte parti-résultats d’enquête témoignent de cet culier comparativement aux éditions environnement d’affaires particulier précédentes. La situation de rareté où malgré une situation financière de main-d’oeuvre qui prévalait depuis sous pression, il y a obligation de quelques années s’est accentuée. rester attractif comme employeur. Ce terme a même récemment été
Devant tous ces défs de recrutement et de fidélisation, un ajustement à la hausse des conditions salariales est dans l’ensemble observé. En 2022, l’augmentation de salaire prévue pour le secteur laitier était de 5,9 % à 10,7 %, selon les postes. Au-delà du salaire, l’offre d’avantages sociaux est souvent bonifiée.
De plus, bien que la crise de la Covid-19 ait perturbé la venue des travailleurs étrangers temporaires (période de quarantaine, ajustements des logements, etc.), le recours aux TET en 2021 n’a globalement pas fléchi. Ces travailleurs demeurent une main-d’oeuvre nécessaire pour combler l’absence agriculture. Dans le secteur laitier, les trois pratiques les de travailleurs locaux.
Dans l’ensemble, les pratiques de gestion des ressources humaines (GRH) se sont peu formalisées en agriculture. Dans le secteur laitier, les trois pratiques les plus courantes, et ce, pour respectivement 62 %, 48 % et 42 % des entreprises consultées sont :
1. Offrir des heures de formations à l’embauche
2. Détenir un programme de prévention en santé et sécurité
3. Réaliser des évaluations annuelles de performance